Praticienne en médecine traditionnelle
chinoise et japonaise
Soins en médecine chinoise et japonaise comprenant acupuncture chinoise et/ou japonaise, acupuncture pédiatrique Shonishin, auriculothérapie (aiguilles auriculaires provisoires) pour le sevrage tabagique par exemple, acupuncture esthétique (lifting du visage, atténuation des rides), conseils en diététique chinoise, conseils en pharmacopée chinoise, massages Tuina (massages sur des points d'acupuncture), protocole spécifique pour booster le système immunitaire.
J’ai découvert l’univers de la thérapie asiatique par une amie qui se formait en digipuncture japonaise en tant que « cobaye » pour qu’elle puisse s’entraîner. Le bien-être ressenti, les résultats m’ont surprise, conquise. J’ai alors décidé de me former à mon tour en digipuncture japonaise à Paris et à l’étranger (Angleterre, Belgique, Suisse) depuis 2008.
J’ai d’abord pratiqué sur des proches, des amis et en 2012 j’ai ouvert un cabinet de digipuncture japonaise. Très vite j’ai eu des personnes d’horizons différents qui avaient essayé beaucoup de thérapies diverses sans succès. J’étais pour certains le dernier recours. Parfois la réponse que je pouvais apporter ne me satisfaisait pas. Je me suis alors aperçue que germait en moi l’idée d’avoir plus de cordes à mon arc pour apporter un soulagement dans des situations plus variées, bien entendu en complément de la médecine allopathique et du médecin traitant et sans prétendre au miracle.
L’acupuncture me semblait le prolongement naturel de la digipuncture japonaise que j’exerçais. Elle m’apparaissait comme ayant un champ d’action plus vaste et offrant plus de techniques différentes. J’ai donc entrepris en 2015 une formation en médecine traditionnelle chinoise avec l’école Zhong Li. Elle était à l’époque la seule à ma connaissance qui formait en 5 ans non seulement à l’acupuncture mais aussi au massage chinois Tuina (massage sur des points ou méridiens d’acupuncture), à la diététique chinoise, à la pharmacopée chinoise, tout en y intégrant la moxibustion (stimulation du point d’acupuncture par la chaleur), les ventouses, etc.
Je souhaitais solutionner la peur de l’aiguille qu’éprouvaient certains adultes et les enfants tout en continuant à utiliser les connaissances acquises en digipuncture. En 2017 je me suis donc formée aux Pays-Bas auprès de Stephen Birch et Junko Ida à la méthode du Docteur Manaka qui utilise des stylets appelés Electrostatic Adsorbers posés sur la peau à la place des aiguilles pour stimuler les points d’acupuncture. Il n’y a donc aucune insertion cutanée.
J'avais entendu parler d'une méthode japonaise utilisant les bienfaits de l'acupuncture pour les tout-petits, une méthode autre que les stylets (qui peuvent effrayer les enfants car ils sont grands même s'ils ne sont pas insérés dans la peau) utilisant des instruments petits aux formes amusantes en "brossage", "lissage", etc. sur la peau. L’acupuncture japonaise Shonishin pour les tout-petits (0 à 5 ans voire jusqu'à 10 ans) m'a ainsi permis d'apporter une réponse douce et efficace et ainsi qu'une alternative aux stylets pour stimuler les points d’acupuncture et cela sans insertion d’aiguille et sans douleur.